moi j'en ai parlé, mais ça n a pas changé le regard de certaines personnes sur moi
comme disait je ne sais plus qui : " ça ne sert à rien de discuter avec des cons, par définition, ils ne comprennent pas. "
Certaines collègues ne m' ont " pas fait de cadeaux ", meme après que j'ai failli mourir lors de l hémorragie. Le cadre non plus. Les gens sont aussi dans le déni ou dans le " j y suis pour rien et moi aussi j'ai mes soucis "
donc voila...à quoi bon en parler ...est ce un plus ? pas sure
ceux qui veulent croire que tu t arretes par complaisance, de toute façon, ils trouveront tjs à redire, meme si tu avais une leucémie.
au niveau des amis et proches, on en a parlé aussi ...et là meme soucis : déni . Je me souviens m etre pris de gueule avec ma belle soeur le lendeman de mon mariage car elle me reprochait d etre aller m allonger qq heures. Jai craqué et dis : mais t as rien compris, j'ai un cancer et je vais mourir. Et là stupeur, bein oui, ils avaient su pour ma TE, su pour l hémorragie avec pronostic vital engagé, su qu'on se mariait en vitesse par peur de laisser un veuf sans ressources.....mais elle n avait pas voulu comprendre.
alors je ne sais quoi te conseiller.
par contre, jai des collègues, jeunes, qui ont compris et accepté la nature de ma maladie et qui voient mes " coups de pompe " et sans rien me dire pour ne pas me foutre les boules, ils rappliquent me donner un coup de main. Ils m'ont dit que ça se voyait sur ma tete quand j'avais ces troux de fatigues. je pense que comme je ne me plains pas, ils sotn aussi plus sensible à moi, par rapport à d autres nanas qui ont tjs un pet de travers, tjs à se plaindre, des " tamalou "
